Perdida de lo absoluto de Carmen Rivero

Dans « Perdida de lo absoluto » Carman Rivero nous parle du désir d’un temps et d’un lieu perdu, à La Havane. L’absolu d’où nous venons, ce que nous savons, les racines qui font de nous ce que nous sommes. Et que nous perdons à chaque instant que la vie passe, et nous transforme en quelque chose de nouveau. La perte est longue et mélancolique, mais c’est surtout un passage vers quelque chose d’inconnu.
« Le désir est une blessure dans la réalité », dit Carmen Rivero au début du livre, citant Andrej Tarkovsky. Peut-être que la perte de l’absolu est la cicatrice de cette blessure, toujours ouverte, marque indélébile de quelque chose qui nous échappe.

Édition limitée à 300 exemplaires, 80 pages, 1 tirage

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